Salrynn | maybe it's the destiny | Porteur de la Keyblade | | 12 messages postés |
| Posté le 07-07-2007 à 11:03:27
| Salrynn ne pouvait s'empêcher de connaitre plus ce monde vu qu'elle était coincé là pour L'instant elle se contenta de regarder les alentours pour se familiariser, elle s'acheta une glace à la saveur d'eau de mer, sucré mais salé, sa lui fesait pensé à la mer azulia, Salry souria, tous en lichant sa glace, son regard était attiré par le moindre petit mouvement,les marchées était attirant et elle regardait le train qui fesait le tour de la ville ce qui était un peu nouveau pour elle car dans son monde il montait des valefort et des chocobo puis elle s'arrêta devant un trou dans ce mur se demandant que pouvait faire un trou comme sa sans raison, qui séparait la ville et la forêt, la jeune fille, alla de l'autre côté regardant ces arbres gigantesques, L'aquarienne enleva sa veste blanche, et la déposa près d'un arbre. Puis elle s'assia dessus, puis elle licha sa glace tranquilement *Et bien c'est quand même pas mal, sa fait différent voir une ville avec ce coucher de soleil, faudra que je m'y habitue avant de trouver une solution, hmmmm si seulement je me rappelait le nom de chez moi, il y aurait surment quelqu'un qui pourrait m'aider dans cette ville et si je trouve un autre maitre de la keyblade nous pourrons nous comprendre, il faudra chercher mais plus tard......* Elle bailla puis elle s'étenda sur le sol, regardant la sime des arbres fermant les yeux se laissant bercer par cette petite brise, elle se sentait quand même un peu seul, s'inquiètant pour fayt et solraion, elle fit un long soupir *pourquoi sa devait être ainsi.....tous cette histoire car j'ai une keyblade* Elle leva le bras toujours couché au sol et fit apparaitre sa keyblade noir et blanc, elle avait l'air lourd mais en fait cette clé était très légère *Qu'elle destin est ce que tu veux que J'accomplice.... je suppose que protéger mon monde n'était pas assez...que me cache tu Keyblade....* Puis elle la fit disparaitre d'un jet de lumière, puis elle remit son bras au sol, dans ce silence qu'on ne pouvait entendre que oiseau et le bruissement des feuilles sous le souffle du vent *Qu'elle vie.....* |
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